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Nom grec

Ὑβρις Ὑβρεος

Translittération

Hybris, Hybreos

Nom Romain

le comportement agressif

Traduction

l’Insolence, l’Arrogance

Hybris, Paestan rouge-la figure bell krater C4th B.,C.

HYBRIS était la déesse ou l’esprit personnifié (daimona) de l’insolence, de l’hubris, de la violence, de l’orgueil imprudent, de l’arrogance et du comportement scandaleux en général. Son nom romain était Petulantia.

famille D’HYBRIS

PARENTS

EREBOS & NYX (Hyginus préface)
DYSSEBIA (Eschyle Eumenides 532)

progéniture

KOROS (Pindare Olympien 13.10, Hérodote 8.77.1)

citations de la littérature classique

Hésiode, œuvres et jours 214 et suiv. (trans. Evelyn-White) (épopée grecque C8th ou C7th B. C.,):
« Écoutez bien et ne favorisez pas la Violence (Hybris); car Hybris est mauvais pour un pauvre homme. Même le Prospère ne peut pas facilement supporter son fardeau, mais il est pesé sous lui quand il est tombé dans l’illusion. Le meilleur chemin est d’aller de l’autre côté vers la justice; car Dike (Justice) Bat Hybris (indignation) quand elle arrive longuement à la fin de la course. Mais ce n’est que lorsqu’il a souffert que l’imbécile l’apprend. »

Pindare, Fragment 2 (trans. Sandys) (Grec lyrique C5e av. j.-c.) :
« Hybris (Insolence) est la ruine des villes . . ., Jamais Hybris sans vergogne ne pourra amener faction dans son train et s’emparer de la compagnie des citoyens, quand ils auront oublié leur courage. »

Bacchylides, Fragment 15 (extrait du papyrus Oxyrhynchus 2363) (trans. Campbell, Vol. Grec lyrique IV) (Grec lyrique C5th B. C.,):
« Il est ouvert à tous les hommes d’atteindre indéfectible Digue (Justice), le préposé de Sainte Eunomie (bonnes lois) et sage Thémis (ordre juste); heureux ceux dont les fils la choisissent pour partager leur maison; mais cet autre, Hybris éhontée (Insolence), se complaisant dans les tours et les folies sans foi ni loi, qui donne rapidement à un homme la richesse et le pouvoir d’un autre seulement pour le mettre en ruine profonde it c’est elle qui a détruit ces fils arrogants de Ge (Gaea, terre), les Gigantes (Géants). »

Eschyle, Agamemnon 763 et suivants (trans. Weir Smyth) (tragédie grecque C5th B. C.,):
« mais une vieille Hybris (hubris) tend à faire naître dans les hommes mauvais, tôt ou tard, à l’heure fatidique de la naissance, un jeune hubris et cet irrésistible, invincible, esprit Impie (daimon), Thrasos (insouciance), et pour le ménage Noir Ates (malédictions), qui ressemblent à leurs parents. Mais Dike (la Justice) brille dans les demeures de fumée-begrimed et estime l’homme vertueux. »

Eschyle, Euménide 532 ff:
 » j’ai un conseil opportun : l’arrogance (hybris) est vraiment l’enfant de l’impiété (dyssebia), mais de la santé de l’âme vient le bonheur, cher à tous, beaucoup prié pour., »

Ésope, Fables 533 (de Babrius 70) (trans. Gibbs) (fable grecque C6th B. C.) :
 » Les dieux se mariaient. L’un après l’autre, ils se sont tous attelés, jusqu’à ce qu’il soit enfin temps pour Polemos (guerre) de tirer son sort, le dernier des célibataires. Hybris (fierté imprudente) est devenue sa femme, car elle était la seule à rester sans mari. Ils disent que Polemos aimait Hybris avec un tel abandon qu’il la suit toujours partout où elle va. Donc, ne laissez jamais Hybris venir sur les nations ou les villes de l’humanité, souriant affectueusement à la foule, parce que Polemos (guerre) viendra juste derrière elle., »

Athénée, Deipnosophistae 2. 36d (trans. Gullick) (rhéteur Grec C2nd à C3rd A. D.):
« Panyasis, le poète épique, attribue le premier toast aux Kharites (Charites, grâces), le Horai (Horae), et Dionysos, le second à Aphrodite et Dionysos à nouveau, le troisième, cependant, à Hybris (Violence) et Ate (ruine). Il dit : « la première partie est tombée au sort des Kharites (grâces) et des joyeux Horaï (saisons), et au bruyant Dionysos, les dieux mêmes qui ont inspiré la première ronde . Pour la suite suivante, Kyprogeneia (Cyprogenea) et Dionysos ont tiré le lot., Ici les hommes grand le plus grand bien de boire du vin. Si un homme, satisfait de cela, rentre à la maison de la fête encore agréable, il ne peut jamais rencontrer de mal. Mais s’il persiste à la pleine mesure du troisième tour et boit à l’excès, il s’élève le malheur amer de L’Hybris (Violence) et Ate (ruine), avec des maux (kakoi) aux hommes dans leur train. Alors, bon seigneur (car tu as une bonne mesure de boisson sucrée), va vers ta femme mariée et laisse leurs compagnons se reposer., Car je crains, quand ce troisième doux tour est assailli, que Hybris (Violence) puisse exciter la colère dans ton cœur et couronner un bon divertissement avec une fin mauvaise. Non, obéissez et cessez de trop boire. »
Et poursuivant le sujet du vin immodérément utilisé, Panyassis dit : « Après le malheur de Ate (ruine) et Hybris (Violence) suit de près sur la victime. »
selon Euripide ‘ » la délectation apporte des coups, des insultes et des outrages », d’où certains déclarent que Dionysos et Hybris (Violence) sont nés en même temps., »

SOURCES

Grec

romain

  • Hyginus, Fabulae – Mythographie latine C2nd A. D.

bibliographie

Une bibliographie complète des traductions citées sur cette page.