Kids Help Phone est là pour vous pendant la pandémie de COVID-19. Des services d’urgence et des services de protection de l’enfance sont toujours disponibles partout au Canada et un soutien mobile en cas de crise est également disponible dans certaines régions. Quoi qu’il en soit, votre sécurité est une priorité — il est important de trouver des moyens de vous protéger, même en pratiquant la distanciation physique.

la violence peut être physique, émotionnelle ou sexuelle. L’abus n’est jamais correct et ce n’est jamais de votre faute. Votre sécurité compte., Bien que certaines formes d’abus puissent être évidentes, les abus ne sont pas toujours faciles à identifier, même lorsqu’ils se produisent dans votre propre famille.

qu’est-Ce que la maltraitance?

La violence (en particulier dans la famille) est le fait qu’un ADULTE, généralement un parent ou un aidant, utilise la violence pour contrôler et / ou nuire à un membre de la famille. L’abus peut être physique, émotionnel / psychologique ou sexuel. La négligence est une autre forme d’abus. On parle de négligence lorsque les parents ou les aidants naturels qui ont la responsabilité de prendre soin d’un jeune ne répondent pas à leurs besoins fondamentaux.,

violence physique

la violence physique comprend les coups, les coups de poing ou les blessures physiques à un jeune d’une autre manière. D’autres exemples de violence physique comprennent:

  • gifler
  • mordre
  • donner des coups de pied
  • tirer les cheveux
  • gratter
  • secouer
  • étouffer
  • tordre le bras
  • utiliser un objet, comme une ceinture ou une chauve-souris, pour causer de la douleur

violence psychologique

connu sous le nom de violence psychologique, c’est quand quelqu’un Menace, intimide et intimide une autre personne. C’est plus difficile à reconnaître que la violence physique., Une personne victime de violence psychologique peut ne pas se rendre compte qu’elle est maltraitée.

la violence psychologique ne laisse pas de marques physiques, ce qui peut rendre la reconnaissance plus difficile pour les autres. La violence psychologique peut être aussi douloureuse que la violence physique.,(ou menaçant de blesser un animal de compagnie)

  • menaçant de laisser un jeune quelque part, ou de quitter la maison et de ne jamais revenir
  • maltraitant quelqu’un d’autre (frère, parent ou animal de compagnie) devant un jeune
  • abus sexuel

    l’abus sexuel est le fait qu’un adulte implique un jeune dans une activité sexuelle ou utilise des actes sexuels pour démontrer son pouvoir ou son autorité., L’abus sexuel implique souvent un contact physique, mais il peut aussi se produire sans toucher.,les parties génitales d’un adolescent ou leur faire toucher les parties génitales d’un ADULTE

  • avoir des relations sexuelles ou essayer d’avoir des relations sexuelles avec un jeune
  • enlever les vêtements d’un jeune ou les forcer à regarder comme un ADULTE enlève ses vêtements, en particulier d’une manière sexuelle
  • faire des commentaires sexuels sur le corps d’un jeune
  • forcer un jeune à regarder d’autres avoir des relations sexuelles
  • faire regarder de la pornographie à un jeune
  • prendre des photos d’un jeune sans vêtements sur le corps d’un jeune
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    négligence

    on parle de négligence lorsqu’un parent ou un aidant ne répond pas aux besoins fondamentaux d’un jeune.,vêtements appropriés

  • aliments nutritifs
  • hygiène adéquate (savon, shampoing et endroit pour se baigner)
  • supervision et orientation
  • éducation (veiller à ce que les enfants fréquentent l’école ou reçoivent un enseignement à domicile)
  • soutien émotionnel (parent/soignant parle à leurs enfants et montre de l’intérêt et de l’affection)
  • soins médicaux (soins préventifs de base tels que le fait d’aller régulièrement chez le dentiste/médecin, les voyages chez le médecin lorsque les enfants sont malades, les visites à l’hôpital pour les urgences médicales)
  • Il est important que vos besoins soient satisfaits — vous méritez d’être aimé et soigné.,

    mauvais traitements causés par d’autres membres de la famille

    La Violence peut se produire dans de nombreuses relations familiales différentes — ce n’est pas toujours entre les parents ou les soignants et les enfants. Si vous êtes blessé ou maltraité par un membre de votre famille (par exemple, un frère, un cousin, une tante, un oncle, un grand-parent, etc.) vous pouvez parler à un adulte en sécurité ou appeler Kids Help au 1-800-668-6868 pour savoir comment rester en sécurité et améliorer votre situation.

    Quelle est la différence entre la discipline et l’abus?

    au Canada, les parents sont légalement autorisés à discipliner physiquement leurs enfants âgés de deux à 12 ans.,plutôt que d’exprimer la frustration ou la perte de sang-froid d’un parent

  • l’enfant doit être capable d’apprendre de la discipline
  • la discipline ne doit pas impliquer l’utilisation d’objets (bâtons, chauves-souris, ceintures ou autres objets)
  • l’enfant ne doit pas être frappé à la tête ou giflé au visage
  • la discipline ne doit pas être dégradante, humiliante ou nuisible (ecchymoses, coupures, égratignures et autres marques sont des signes physiques de préjudice)
  • bien que la discipline physique soit légale, les services de protection de l’enfance plaide pour une « parentalité positive”, qui n’implique aucune discipline physique.,

    désirs versus besoins

    Les Parents et les soignants sont responsables de répondre aux besoins de leur enfant, mais pas à leurs désirs. Par exemple, un manteau d’hiver chaud est un besoin, mais un manteau d’hiver à la mode est un besoin. En d’autres termes, les parents et les soignants doivent fournir à leur enfant des vêtements d’hiver chauds, mais ils n’ont pas à fournir à leur enfant le manteau particulier qu’ils veulent.

    Si vous avez des questions au sujet de la violence, vous pouvez appeler un conseiller D’aide jeunesse au 1-800-668-6868.,

    sentiments communs avec la violence

    vivre avec la violence peut affecter la façon dont vous pensez à vous-même, à votre famille et à votre avenir. Les abus peuvent vous inciter à vous raconter des histoires fausses, ce qui peut vous empêcher d’obtenir de l’aide.

    les abus peuvent également affecter votre façon de vous sentir. Les émotions causées par les abus peuvent être compliquées — vous ne savez peut-être pas ce que vous ressentez. Voici quelques exemples:

    Coupable:

    « je sais que c’était au moins en partie de ma faute.”
    « j’aurais été capable de l’arrêter.”
    « Si seulement j’avais aidé plus. »
     » pourquoi a-t-il blessé mon frère et pas moi?,”

    Honte:

    « C’est tellement humiliant. »
     » Les gens vont penser que je suis bizarre. »
     » Tout le monde pensera que c’est de ma faute de ne pas l’arrêter. »
    « Nos voisins mépriseront ma famille.”

    en Colère:

    « Pourquoi moi? »
     » rien ne va jamais bien pour moi – cela le prouve.”
    « je dois être puni.”
    « je déteste tout. »

    peur:

     » Si je le dis à la police, il me fera plus de mal. »
     » Les services de protection de l’enfance vont me séparer de mon frère. »
    « je serai placé dans une famille d’accueil où les choses seront encore pires., »
     » Je ne trouverai plus jamais quelqu’un qui se soucie de moi.”

    Confus:

    « Peut-être que l’abus n’est pas vraiment mauvais. »
     » bien sûr, il est violent, mais il peut aussi être vraiment gentil et amusant.”
    « je sais qu’elle m’aime, elle ne sait tout simplement pas comment le montrer. »
     » Si Je ne le dis pas, les choses iront mieux. »
     » peut-être que je me souviens mal des choses.”

    Rejeté:

    « Ils peuvent aussi m’ont donné de suite. »
     » elle ne doit pas se soucier de moi du tout.”
    « Pourquoi n’a-t-il pas essayé de me protéger? »

    Trapped:

     » on a l’impression qu’il n’y a pas d’issue.”
    « peu importe ce que je fais, elle me frappe. Je ne peux pas échapper., »
     » Je n’ai nulle part où aller — c’est vivre comme ça OU être sans abri. »
    « j’ai l’impression de marcher sur des coquilles d’œufs tout le temps. »

    Helpless:

     » Je ne peux rien faire. »
     » personne ne me croira-Je ne suis qu’un enfant.”
    « Comment puis-je l’arrêter? Il est plus grand que moi. »
     » Si seulement j’avais l’argent, je m’enfuirais. »

    Hopeless:

     » ça va durer éternellement — ou s’aggraver de plus en plus.”
    « je n’ai rien à espérer. »
     » Tout ce que je fais est d’essayer de passer à travers chaque jour. »

    sans valeur:

     » Si j’étais normal, il ne me ferait pas ça., »
     » je suis tellement stupide – je ne peux plaire à personne. »
     » pas étonnant qu’elle ne me laisse pas dans la maison — je suis un tel gâchis.”
    « je me suis ruiné pour toujours.”

    Trahi:

    « Comment peuvent-ils me faire ça? »
     » Il m’a promis qu’il ne me frapperait plus jamais-quel menteur. »
     » elle aime consommer de la drogue plus qu’elle ne m’aime. »

    Si vous ressentez l’une de ces choses, ou même si vous vous sentez juste confus, parler à un ADULTE sûr peut aider. Vous pouvez également appeler un conseiller D’aide jeunesse au 1-800-668-6868.,

    mythes courants sur la violence dans la famille

    chaque jour au Canada, des enfants et des adolescents sont maltraités ou négligés à la maison.

    Il existe de nombreuses idées fausses sur la maltraitance et la négligence, et celles-ci peuvent parfois empêcher les jeunes de demander de l’aide.

    mythe: « je viens d’une bonne famille — la violence ne pouvait pas m’arriver. »
    vérité:la violence peut se produire dans n’importe quelle famille, quartier ou communauté.

    mythe: « je me comporte très mal parfois. Si mes soignants abusent de moi, c’est de ma faute. »
    vérité: personne ne mérite d’être maltraité – peu importe ce qu’ils ont fait.,

    mythe: « si mon parent me crie dessus et m’appelle des noms, ce n’est pas de l’abus. »
    vérité: l’abus n’est pas seulement une question de préjudice physique. La violence psychologique et la négligence sont également fausses et contraires à la loi.

    mythe: « mes parents doivent me blesser pour me faire me comporter. »
    vérité: l’abus ne fait pas que les enfants se comportent. En fait, les jeunes victimes de violence ont souvent peur et sont en colère, ce qui peut aggraver leur comportement.

    Besoin de plus d’informations ou de soutien? Vous pouvez contacter Kids Help Phone 24/7.

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