contexte: les analgésiques sont une composante essentielle du traitement des Douleur., Le traitement pharmacologique est généralement commencé avec des analgésiques non opioïdes, le plus souvent l’acétaminophène. Si le soulagement de la douleur n’est pas atteint, les opioïdes dits « faibles », tels que la codéine et l’hydrocodone, peuvent être utilisés en association avec l’acétaminophène. Les effets indésirables (ei) des opioïdes comprennent la constipation, la somnolence, les nausées et les vomissements. Selon les résultats d’une recherche documentaire, les données comparant les effets des opioïdes font défaut.,
objectif: le but de cette étude était de comparer l’efficacité analgésique et la tolérabilité du phosphate de codéine par rapport au bitartrate d’hydrocodone en association avec l’acétaminophène dans le soulagement de la douleur liée au cancer.
résultats: sur les 121 patients qui ont participé, 59 ont reçu une C/A et 62 ont reçu une H/A. sur le nombre total de cas, 59% étaient âgés de 60 à 89 ans et 55% étaient des hommes. À l’inclusion, 88% des patients ont décrit leur intensité de douleur comme modérée; 12%, sévère., Parmi les patients qui ont reçu C/A, 58% ont répondu à la dose initiale de 150/2500 mg/j, et 8% des patients ont répondu à la double dose; 34% n’ont pas ressenti de soulagement de la douleur. Chez les patients avec H/A, la douleur a été rapportée comme absente ou légère chez 56% des patients à la dose initiale de 25/2500 mg/j; 15% supplémentaires des patients ont répondu à la double dose; les 29% restants n’ont présenté aucun soulagement de la douleur. Aucune des différences de taux de réponse entre les groupes n’était significative., Les Ei les plus fréquents dans le C/A et H/groupes ont été constipation (36% et 29%, respectivement), les étourdissements (24% et 19%), les vomissements (24% et 16%), et la sécheresse de la bouche (15% et 18%), sans différence significative entre les groupes.
Conclusion: dans cette étude, l’efficacité et la tolérabilité étaient comparables entre C/A et H/A sur 23 jours de traitement chez ces patients présentant une douleur chronique modérée ou sévère liée au cancer.
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